La dernière version de la loi Malraux s’applique aux transactions immobilières pour lesquelles un permis de construire ou une déclaration d’emploi a été déposé depuis le 1er janvier 2009.
L'avantage fiscal est le suivant: - les frais de restauration sont déduits du montant de l'impôt sur le revenu à 22% si la propriété est située dans la zone de protection de PatrimoineArchitectural urbain et paysager (ZPPAUP), ou 30%, si le bâtiment est situé dans l'une des autres zones protégées à 400 EUR 000 des œuvres réparties sur quatre ans, l'année du permis de construire plus trois ans.
Cela correspond à une réduction d'impôt maximale de 88 000 euros ou 120 000 euros sur quatre ans.
Seuls les frais encourus au 31 décembre de la 4ème année sont pris en compte à l’une des dates suivantes:
- la date de délivrance du permis de construire,
- l'expiration du délai d'objection à la déclaration préalable.
Les contribuables peuvent donc bénéficier d'un allégement fiscal pendant quatre années d'imposition et, en cas de réduction de l'excédent, un report de trois ans ou une période maximale de sept ans pour réduire la taxe due est possible.
La base de réduction comprend le coût (sans acquisition) moins les subventions ou subventions.
Le droit de déduction, certains coûts fonciers généraux et les coûts de récupération de bâtiments spécifiques, énumérés ci-dessous, à l'exclusion du prix d'achat de la propriété:
- les frais de réparation et d'entretien,
- les primes d'assurance,
- les coûts de rénovation (hors frais de construction, de restauration et d’expansion),
- le coût des améliorations liées aux locaux résidentiels et commerciaux destinés à protéger les locaux contre les effets de l'amiante ou à faciliter l'accueil des personnes handicapées (à l'exclusion des coûts de construction, de reconstruction ou d'agrandissement)
- les taxes autres que celles d'usage aux résidents, perçues en faveur des collectivités locales,
- les frais de gestion,
- les provisions payées par le propriétaire pour les coûts d'exploitation de l'entreprise commune et le montant effectivement utilisé par les administrateurs de la copropriété pour le paiement de ces coûts,
- travaux imposés ou autorisés par l'autorité publique: démolition, reconstruction de toits ou de murs extérieurs ou redéploiement dans l'habitation,
- Travaux aboutissant à la formation de plafonds, de plafonds ou d’espaces communs habitables.
Les coûts imposés ou autorisés par l'autorité publique seront exonérés de taxes, qu'ils soient réalisés ou non dans le volume existant.
Ainsi, l'expansion de l'espace de vie peut bénéficier de réductions d'impôts.